Né en 1948 à Ispahan, ancienne capitale culturelle de la Perse, Abbas Rostamian  grandit au cœur d’un patrimoine artistique d’une richesse exceptionnelle. Très tôt, il s’imprègne de la tradition visuelle persane et réalise ses premières compositions, déjà marquées par la précision et la sensibilité qui caractériseront son œuvre. En 1967, il remporte le premier prix du concours national de peinture  en Iran. Cette même année, il rejoint l’Université d’art et d’architecture de

Albert Graf et Ernest Römer partagent leur passion du chant au sein du club de yodel Alpenrösli à Lausanne. Depuis plus de onze ans, ils forment également un duo qui se produit à travers toute la Suisse romande. Qu’il s’agisse d’événements officiels, d’apéritifs, d’anniversaires ou encore de prestations dans les maisons de retraite, ils offrent à leur public des instants d’émotion et de convivialité. Profondément attachés au folklore suisse, et plus particulièrement au yodel,

Sayeh Hosseinian Dans un univers où la lumière danse avec la couleur, mes toiles deviennent le reflet de ma double culture suisse et iranienne. Elles naissent à la croisée de deux mondes entre rigueur scientifique et élan poétique, entre structure et spontanéité. Peindre, pour moi, est un geste d’émotion et de mémoire, guidé par la lumière intérieure.   Mon parcours artistique commence à Téhéran, dans les cours du soir de M.G.Nami, professeur à l’université des arts de Téhéra

Qui suis-je ? Artiste avant tout. Philosophie En tant qu’artiste graphite, mon travail est une exploration de la danse subtile entre lumière et ombre, forme et vide. Chaque trait de crayon est une méditation sur l’équilibre fragile des contrastes qui façonnent notre perception du monde. Mon art ne se limite pas à reproduire ce que je vois : il cherche à saisir l’essence et l’émotion qui se cachent derrière chaque sujet. Je crois en la puissance de la simplicité. Le graphite,